• ( Mail envoyé ce jour au fils de ma femme )
     

    Je t’interdis d’envoyer à ta mère des mails humiliants, en jugeant sa façon d’être grand-mère et en lui faisant la leçon à ce sujet. Cela la rend triste, la fait pleurer, lui donne des envies de suicide et donc il est normal que j'intervienne pour protéger ma femme.
    Tu n’as de leçons à donner à personne, sur le terrain de la moralité je te rappelle que tu as essayé de nuire à notre couple par écrit en envoyant derrière mon dos à ta mère un message diffamatoire sur moi.
    Donc il serait peut être préférable de changer de ton. Tout le monde peut commettre des erreurs, rien n'est irréparable.
    La situation que vous avez générée, toi et tes beaux parents, vient d’une calomnie à laquelle vous faites semblant de croire, que je t’aurais insulté, ce qui est totalement inventé ( par qui ? pourquoi ?  ).
    Puis tu as aggravé le problème en voulant me diffamer aux yeux de ta mère derrière mon dos.
    Puis vous nous punissez en privant la petite de notre compagnie et vice versa.
    Et en ce moment, ce sont mails et messages humiliants ( sur la santé mentale de ta mère, et.c.. )
    Aucune proposition de dialogue à six.
    Aucun contact avec moi, qui semble n’avoir servi qu’à créer un problème puis à être abandonné dans un coin comme portion nulle.
    Donc, nous vous proposons une discussion, comme cela devrait te convenir vu que tu n’en démords pas, cependant nous voulons que cela se fasse entre nous six devant un médiateur familial, car tous les acteurs de votre querelle ( vous les initiateurs et nous trois les victimes ) doivent pouvoir s’exprimer sans que le ton ne monte et avec franchise...Le silence et la mauvaise foi, les tentatives de manipulation ou d’intimidation de quiconque devenant impossibles dans ce genre de contexte, qui est organisé lorsqu’une situation est bloquée.
    La moindre des honnêtetés est d’accepter une discussion ou un dialogue pacifique mais où tout le monde serait égalité et présent. J'ai comme toi proposé un dialogue et toi même tu sembles y tenir, nous sommes donc d'accord sur ce point.
    Dans l’espoir que ma main tendue  ne restera pas dans le vide, j’attends ta réponse au sujet de ma proposition et à ce sujet seul. Ce n'est pas en laissant ce message sans réponse que cela fera progresser les choses vers du mieux.

     

    " Un effacement " (  198  )


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  • Le problème est que tu te permets des propos à ta mère qu'elle désapprouve et que je désapprouve aussi. La maltraiter en lui disant qu'elle est mauvaise grand mère, ça la fait pleurer et il est donc normal que je lui demande pourquoi elle pleure.
    Lui dire derrière mon dos des méchancetés sur moi comme tu as fait un jour par mp et sur lequel je suis tombé ( d'ailleurs tu évites savamment ce sujet car ça te gêne, les écrits restent et là tu ne peux donner dans le déni ), ça me concerne aussi.
    Avant que vous n'ayiez, toi et les trois autres,  l'idée bizarre de créer cette histoire un peu dingo ( que soi disant je t'aurais insulté, tu sais pertinemment que c'est pure invention calomnieuse ), je m'en foutais royalement de vos discussions à deux. Je te rappelle que c'est moi qui ai donné à ta mère l'idée d'aller te consoler quand ta femme était en difficulté à la maternité. J'ai dit à ta mère de rester deux/trois jours auprès de toi, je te remercie pour savoir apprécier ce geste de ma part en faisant de moi une sorte de malfaisant qui empêcherait votre relation. Ridicule idée. Vaut mieux laisser tomber, ça ne tient pas longtemps la route.
    Maintenant que vous m'avez choisi comme bouc émissaire pour essayer de vous ressouder à quatre ( car il y a une évidente mésentente entre vous quatre, sinon vous n'auriez pas ressenti le besoin de vous réconcilier sur mon dos ), et bien ta mère et moi fonctionnons uniquement en couple, il faudra t'y faire jusqu'à ce que tu décides de cesser d'empêcher la petite de nous voir.
    Essayer de croire que je serais influent sur ta mère, c'est vraiment la prendre pour une conne. 25 ans sans personne pour l'influencer, tu sais tout à fait qu'elle est souveraine dans ses opinions, il se trouve que pour l'histoire sordide que vous avez initiée, les opinions de ta mère et de moi concordent, sinon on pourrait affirmer de la même façon que tu laves le cerveau de ta femme ou que ton beau père lave le cerveau de Madame.
    Donc, laissez tomber ces idioties, c'est encore la technique du bouc émissaire, c'est connu comme le loup blanc vous êtes entrés dans un schéma qui n'apporte que des inconvénients, y compris à vous et surtout à la petite, qui est par vos soins privée de sa grand mère et de son Boopa.

    Demande-lui si elle veut venir nous voir, tu verras sa réponse, mais la pauvre n'a pas voix au chapitre.
     Après ça sera simple, tu parleras avec ta mère comme elle l'entendra, comme tu l'entendras aussi, comme ça se passait " avant ".
     

    Mais bon, vous avez installé un problème, va falloir apprendre à le résoudre en tenant compte de tous et de tout.
    Ta mère m'a dit que la seule discussion qu'elle acceptera au départ avec toi ce sera : mise au point d'un accord pour un protocole de rencontre entre Lucie et elle/nous.
    En attendant elle me montre tout ce que vous lui écrivez, ( comme d'ailleurs tu dois faire avec ta femme si vous vous entendez aussi bien que nous et si vous vivez comme nous la transparence dans votre couple ? notamment beaucoup de méchancetés ( estomaqué je fus, à mon tour,  par la psycho à deux balles de ta femme ) et je lui montre tout ce que j'écris, à toi ou à ta femme.
    On n'a pas beaucoup lu ou entendu les tes beaux parents, ils se planquent ou quoi, après avoir versé le venin sur notre relation ?
    Je me doute qu'ils sont pour beaucoup dans la direction casse-gueule que vous avez prise.
    Le fait d'exiger d'insister de focaliser sur une discussion uniquement entre toi et ta mère, ça la met mal à l'aise et moi aussi d'ailleurs, car cela suppose que tu ne veux pas dire des choses que je pourrais entendre et donc forcément, vu ce que tu as essayé de faire par mp, il y a méfiance qui  n'a rien de paranoïaque car chat échaudé craint l'eau froide.
    Merci de m'avoir répondu, j'ai soudain eu l'impression d'exister autrement que comme bouc émissaire.
    Dans l'espoir que tu vas décoincer rapidement pour mettre au point les rencontres avec la petite, je confirme que de toutes façons vous n'avez pas à craindre de ma part une quelconque apparition, je n'ai pas envie du tout de vous revoir, vous m'avez attristé et offensé. Dommage vous allez me regretter malgré vous un jour. Mais bon, vous avez choisi.
    Boopa.
    PS : lu et approuvé par ma femme, qui ne m'a pas influencé.
     Un effacement (  199  )


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  • Pourquoi je suis abruti depuis sept mois

     
    En septembre j’avais eu envie que la petite fille de ma femme elle voie pour la première fois ses quatre grands-parents ensemble. Je me considère comme un peu son grand père. C’était mon idée, une idée naïve, d’autant plus que je ne suis que grand-père par alliance, et en plus « pièce rapportée « dans cette famille. J’ai cru que le déjeuner d’anniversaire de cette petite fille de deux ans, dont j’ai eu l’idée, se déroulait bien. Quelques signes négatifs me montraient doucement que quelque chose clochait, mais c’était suffisamment discret pour que je ne m’alarme pas. En fait “ l’autre grand père “ me cherchait constamment des poux mais je faisais en sorte que cela ne tourne en querelle. Le soir quand nous sommes repartis, j’ai dit à ma femme :
    -Il va falloir qu’on remette ça un jour, c’est sympa pour la petite qu’elle voie ses quatre grands parents en même temps.
    La semaine suivante, on nous a plongés dans une sorte de cauchemar : soudain le fils de ma femme a essayé de lui dire par messagerie des choses négatives à mon sujet, croyant que je ne le saurais pas, et puis ils ont vu que ma femme n’acceptait pas qu’on lui dise du mal de moi, surtout que c’était des idioties inventées du genre :
    -Claude a m’a insulté pendant le déjeuner d’anniversaire. ( Personne ne m’avait entendu insulter personne, c’était ça le cauchemar : on affirme que tu as fait une dinguerie que tu n’as jamais faite et on décide de te punir pour la peine..)
    Heureusement, ma femme m’a bien confirmé que je n’ai rien fait de semblable, que j’ai eu un comportement gentil et normal à ce déjeuner, comme je l’ai toujours eu, et que donc c’était une sorte de traquenard destiné à me nuire pour m’écarter. Parce que quand on t’accuse de quelque chose, et que tu es innocent, tu as un doute, c’est là le côté pervers de ce procédé.
    J’ai écrit au fils de ma femme après qu’elle m’ait montré ses tentatives de calomnies écrites, pour lui proposer de boire un verre à deux en ville afin d’éteindre le feu qu’ils essayaient d’allumer.
    Je n’ai jamais eu de réponse, par contre aussitôt ils ont puni ma femme en la privant des rencontres, qui étaient hebdomadaires, avec sa petite fille.
    En même temps ils affirmaient qu’il ne la privaient pas de rencontres, mais lorsque ma femme leur disait :
    - Quand ? Où ? Comment verrai-je ma petite fille ?
    Ils ne répondaient plus, ils faisaient des silences de plusieurs jours afin d’éluder, ils ne voulaient jamais répondre précisément à ces questions. A la fois ils empêchent les rencontres, à la fois ils nient qu’ils empêchent. Ils disent :
    -Tu peux la voir si tu veux. Ces comparaisons sont peut-être exagérées, mais je me souviens que pour qu’il y ait pogrom, on inventait qu’un Juif avait agressé une femme dans un village et hop on tombait à bras raccourcis sur la communauté juive. Quand on avait envie de pendre un Noir dans le Sud des USA, une femme blanche en accusait un d’avoir tenté de la violer et hop on l’attrapait et on le pendait. Chez nous on dit : “ Quand on veut tuer son chien on dit qu’il a la rage “.
    De temps en temps ils envoyaient des mails traitant ma femme de parano, disant qu’elle n’avait pas pris la défense de son fils lorsque « je l’insultais « ( ils y tenaient, j’en étais à me demander si je ne m’étais pas drogué et si je ne l’avais pas fait réellement, en absence de conscience, comme ces gens qui font du mal mais ne s’en souviennent pas… ) et puis son fils a dit :
    -Si tu veux revoir ma fille tu dois d’abord discuter seule à seule avec moi.
    Ma femme a refusé, elle disait que jusque-là il n’y avait jamais eu de conditions pour que sa petite fille puisse la voir et qu’il n’y avait pas de raison que ça change. Encore du silence d’une semaine et hop le dimanche suivant ça remettait ça. Des critiques, des reproches : - De toutes façons tu étais une mauvaise grand-mère. Si tu étais une bonne grand-mère, tu accepterais de discuter seule à seule avec ton fils afin de pouvoir revoir ta petite fille. Puisque tu ne veux pas discuter avec ton fils, c’est qu’au fond tu ne tiens pas à revoir ta petite fille. Moi j’ai écrit plusieurs fois à mon beau fils, à sa femme, jamais je n’ai eu la moindre réponse sauf la dernière fois, deux lignes de mon beau-fils :
    - Je ne veux parler qu’avec maman, j’ai écrit à maman, ce n’est pas à toi de répondre.
    Je suis victime du régime : “ Nuit et brouillard “. On m’accuse, on crée un clash, on essaie de me faire oublier, ensuite : je n’aurai existé que pour servir de prétexte à créer une situation problématique.  
    Ils ont commencé à affirmer que j’empêchais la mère et le fils de communiquer ensemble, que ma femme était sous ma mauvaise influence. L’expression “ bouc émissaire “ m’est venue peu à peu à l’esprit. Mais jamais de contact direct avec moi, comme je le disais : ces pitoyables échanges n’auront eu lieu que par écrit, pas un mot n’aura été prononcé. Cela fait sept mois que ça dure. La semaine dernière, j’ai contacté une avocate qui m’a donné rendez-vous pour le mois prochain. Je n’ai pas trouvé d’autre moyen de faire décoincer une situation qui est en plus niée par ses initiateurs. Je veux que nous revoyions cette petite fille que nous aimons, je veux que cette petite fille qui nous aime nous revoie. D’autant plus qu’ils la privent de nous sans se gêner, elle n’a pas son mot à dire, elle n’a que deux ans. Ils ont écrit : - Nous voulons protéger notre fille. La protéger de quoi ? de qui ? De nous ? Ces phrases floues ils ne cessent d’en écrire : “ Il faut que ça change “, “ vous avez versé la goutte d’eau qui a fait déborder le vase “.... J’ai compris que tout en niant qu’ils utilisent la petite fille en otage pour faire pression sur ma femme et la faire souffrir, la punissant ainsi de ne pas avoir voulu me trahir sur commande, tout en niant ce qu’ils font, ils continuent de le faire.
    -Nous ne t’empêchons pas de voir ta petite fille, tu deviens parano. Il n’y a pas de soucis. Il n’y a rien, tu inventes cette histoire. Tu vis dans un monde de complots que tu imagines.
    Et ma femme leur demande alors de revoir sa petite fille et ils font silence à nouveau plusieurs jours. Moi j’ai eu tristesse quand j’ai vu ma femme triste le jour de la Fête des Grands Mères. J’ai pensé :
    - Cette femme ne mérite pas cela. Moi non plus je ne mérite pas cela.
    J’espère que mon avocate, lorsque je lui raconterai cette merde, trouvera que nous ne méritons pas cela. Qu’elle reconnaitra et fera reconnaître notre statut de victime.
    Ce récit s’appelle « Pourquoi je suis abruti depuis sept mois « . Car ça fait de moi un crétin qui ne comprend plus rien, cette histoire glauque, un type qui erre dans un désert d’incompréhension, voilà j’ai raconté ici cette histoire sordide qui se poursuit au moment où tu lis ces lignes. J’ai souvent utilisé l’écriture pour exprimer ce qui me tourmente, une vieille habitude depuis l’enfance. Je fais deux fois plus de musique car la musique m’a toujours protégé de sombrer. Par contre je me sens épuisé parce que je ne dors presque plus la nuit. Ca me ronge, je dois le reconnaître. Et en plus je ressens de la honte, je ne sais pourquoi, mais oui : je ressens de la honte.
     " Un effacement " ( 200 )

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  • Beau Fils,
    dans un précédent mail je t'avais interdit de tenir à ta mère des propos qui la jugent. Tu n'as aucun droit de regard sur ce qu'elle fait, ce qu'elle dit, ce qu'elle pense, et encore moins le droit de l'empêcher de relationner avec sa petite fille, parce que tu as décidé de faire un caprice. Tu n'avais pas le droit non plus de tenir derrière mon dos des propos diffamants à ta mère, car ça s'appelle " immiscion dans la vie privée ", de même que ta femme n'a aucun droit de lui tenir des propos mettant en doute sa santé mentale.
    Ton droit, ton devoir, c'est de ne pas empêcher ta fille de voir sa grand mère sous prétexte que soudain tu décides que non.
    Ton petit tribunal annoncé n'aura pas lieu.
    Par contre, étant donné que tu as franchi, malgré mes messages essayant de te raisonner, la ligne rouge, il va falloir t'attendre à te faire revenir à de plus justes attitudes et propos, car tu n'es pas au dessus des lois, malgré ce que tu as l'air de croire.
    Donc, mets toi d'accord avec ta mère pour que ta fille puisse la revoir sans tes conditions de gamin capricieux et égocentrique et cesse de tourmenter MA FEMME.
    Ta mère n'est pas ta chose ni ton domestique, tu n'as aucun droit de la juger ou de la tourmenter, va falloir le comprendre. On te le fera comprendre si tu persistes, je te laisse deviner de quelle façon.
    Ne fais pas semblant que rien n'a été écrit à l'instant, tu viens de lire et cela doit donner des résultats.
    Boopa
    PS le ton que j'emploie ici est volontairement ferme et sévère, cela vient du fait que tu fais le sourd à tout ce qui ne vient pas de ton esprit et que tu veux imposer ta loi sans tenir aucun compte des libertés des autres. Tu n'as aucun droit de regard sur ta mère quand il s'agit de critiquer ce qu'elle fait, alors tu arrêtes cela. Contente toi d'une relation tranquille et pacifique avec elle, c'est ce qu'elle désire, et ne cherche plus à la contraindre, elle est libre et le restera.

    " Un effacement "  ( 201 )

     

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  • Ce terrible cauchemar : un serpent noir mince et long s'entortille méchamment autour de ma jambe pendant que je dormais.
    Plus je secouais ma jambe pour m'en débarrasser plus il se fâchait et tentait de me mordre.
    Une fois réveillé, j'ai vu que j'étais en sueur.
    Plus tard sont arrivés mes deux petits enfants.
    L'ainé avait deux serpents en peluche.
    Et je venais de déclarer à ma femme :

    - On va les avoir en les baratinant. Tu reverras ta petite fille. Nous allons les rouler dans la farine. Ca va s'appeler " Opération Charmeurs de Serpents ".

    Car j'ai bien compris que ceux d'en face ils sont déterminés à ne rien céder sur aucun point, ils continuent à empêcher la petite fille de nous voir. Donc à la fois il y aura ruse mais aussi intervention de la Justice, doucement pour commencer.

    " Un effacement " (  202  )


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  • Bon aujourd'hui sale journée, j'ai été pris du vertige de la Grande Solitude, du Grand Isolement, cela ne m'était pas arrivé depuis longtemps.
    Comme avant : pas de messages, pas de visite, pas d'invitation, pas de coup de téléphone, pas de mail, et.c
    Cependant il y a eu les deux petits trois/quatre jours chez nous et puis voilà que ma femme elle travaille de 13 h à 21h30, c'est pas terrible, ça fait des journées où l'on ressent le poids de l'oubli de soi par l'humanité entière.
    Il me faut parfois du courage pour supporter cette situation de quarantaine, d'isolement, d'oubli par celles et ceux que l'on croyait " proches ".
    Je n'ai plus que ma femme pour me rappeler qu'il existe autre personne que moi sur cette planète. Va falloir que je me secoue un peu, car je ne compte sur personne pour me remonter le moral. Nous sommes à une époque où il est bon de se plaindre de maltraitances souvent imaginaires mais jamais de se voir mis au rencart par les autres, je ne sais pourquoi ça la fout mal, les gens s'éloignent d'autant plus . Ca doit leur faire peur.

    " Un effacement "  (  203 )


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  • Depuis que son fils a décidé de me disgrâcier, ça ne va plus très fort à la maison. Ma femme a tendance à laisser faire, elle a ce réflexe primaire sentimental qui l'abat, mais ne contre pas de façon rationnelle et méthodique, ce qui serait plus mon style.
    J'essaie de la faire bouger un peu mais elle reste enfermée dans son monde à elle.
    Elle renonce souvent à l'affrontement, elle renonce à tout, elle ne veut pas lutter.
    Lorsqu'il y a un petit souci dans le quotidien, elle prédit toujours qu'on ne parviendra pas à l'arranger, qu'on va échouer.

    Elle fonctionne beaucoup en termes d'échec et semble vouloir continuer la route seule, hors de toute influence.

    A cause des ces salauds qui nous ont porté le poison, cela fait six mois que nous nous disputons de plus en plus, avant jamais nous ne nous serions disputés. Et comme les première avancées des salauds ça a été d'essayer de faire boîter notre couple, et bien on peut dire que sur ce terrain ils ont marqué un point.

    Tout cela est triste, cela voudrait dire que le premier couillon venu qui a décidé de foutre sa daube il va y parvenir..." Un effacement " (  204  )


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  • C'était hier l'anniversaire de ma femme.
    Je lui ai offert un coffret vidéo de sa série policière américaine favorite : " New York Unité Spéciale ". C'est le second coffret que je lui offre, donc " saison 2 ".
    Le soir j'ai préparé un dîner avec pour elle des fruits de mer et au dessert un super gâteau à la crème Chantilly.
    Et ce midi dimanche nous avons déjeuner dans un restau chinois de la zone commerciale à l'écart de la ville.
    Cette année, pas de souhaits d'anniversaire de son fils à ma femme, pour la première fois de sa vie.
    Elle a l'intention de lui en faire la remarque par SMS dans la soirée"  Un effacement " (  205  ).

     


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  • Ces histoires de brouilles, de commérages, d'empêchements de relations d'enfants, ces histoires où l'on m'accuse de ceci, où l'on vient essayer de me calomnier derrière mon dos auprès de ma femme, ces histoires sont tellement vulgaires qu'elles me donnent la nausée.
    J'avais tout fait pour sortir de ces stupides anecdotes brutales comme me les faisaient vivre mes parents, ma famille d'origine, puis ma première épouse, voilà que je suis contraint de retomber dedans.
    Quant à ma femme, elle a du mal à communiquer avec moi dès lors que le sujet est délicat, car elle a des réactions épidermiques, elle obéït à ses sentiments plus qu'à la raison, je ne parviens pas à me faire comprendre d'elle, elle pratique une sorte de suffisance narcissique où elle ramène tout à elle, je trouve qu'elle manque de la lucidité, de l'efficacité et de l'élégance qu'il faudrait pouvoir conserver au travers de toute ces merdes évènementielles.
    Sans être du parti de ceux qui nous font chier, elle ne s'en détache pas, elle en a des caractéristiques d'hystérie. J'essaie de le lui faire comprendre mais cela dépasse son entendement, on dirait qu'elle a atteint ses limites de prise de conscience de ce qui se passe et de ce qu'il faudrait faire.
    Pour ma part il faut que j'essaie de garder la tête froide et ne pas me laisser impressionner par tout ça. C'est du gâchis mais il faudra que seuls ceux qui composent avec soient souillés.
    Je veux quitter tout ça proprement.
    " Un effacement " (  206 )


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  • Préjudice moral, préjudice sur l’état général  :
    diffamation, dénonciation calomnieuse, tourments obsessionnels, insomnie, dégradation de l’image de soi, être utilisé comme cause à la privation de rencontres avec la petite fille, rôle attribué dégradant, souffrance par empathie à cause de ce que l’on fait subir à ma femme, souffrance par empathie à cause de ce que l’on fait subir à ma petite fille par alliance,  élimination de toute négociation comme si je n’existais plus du jour au lendemain, sentiments morbides, angoisse devant le manque de sentiments exprimés par les fauteurs du trouble, blessure du mépris,  sensation de dépression, choc traumatique du à l’affection et à l’estime escamotées du jour au lendemain et remplacées par ce qui semble être une sorte de défiance fabriquée de toutes pièces, sentiment d’ humiliation, détérioration de l’estime de soi, sensation d’échec, perte de confiance en autrui et en soi même, légers problèmes de couple conséquents à la situation qui nous a été imposée de cette façon brutale, blessure d’accusation d’influence sur mon épouse, incompréhension face à des actes méchants non fondés, blessure due à l’ostracisme dont ont soudain fait preuve les fauteurs du trouble à mon encontre.

    " Un effacement " (  207  )


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